De gros budgets ou un meilleur ciblage

Publié le : 10 juillet 20205 mins de lecture

Depuis maintenant 15 années, on remarque une considérable fluctuation sur le montant du budget réservé par les casinos, les centres de poker et les opérateurs de poker en ligne dans le domaine du marketing. D’abord, avant que le poker n’a pris son essor aux USA, les sociétés n’étaient pas encore surs qu’elles tireraient des grosses bénéfices par leurs placement marketing. Pendant ce temps, la fermeture du marché aux Etats-Unis qui allait avec la récession de la planète entraînait les opérateurs à revoir leurs finances en attendant les moments plus opportuns. Ce n’est qu’après que les dépenses soient forcées d’être réduits qu’on a recommencé à voir reprendre les gros financements marketing. De leurs cotés les opérateurs assurent qu’ils n’abandonneront pas tant que le but ne sera pas atteint.

 Si on se referre aux chiffres du premier trimestre, on voit qu’il y a une croissance. Les dépenses marketing de Bwin on accru de 30%, ceux de 888 on connu une hausse de 20% et leurs projets vont voir une augmentation de 40%. Ce qu’on peut dire qu’il n’y a rien entre l’augmentation de PartyGaming et les chiffres biaisés de le Coupe du Monde.

Selon Peter Marcus connu pour être le précédent PDG de William Hill Online, l’une des causes de la baisse des dépenses est aussi le fait que des operateurs ont revu à la baisse les finances marketing dès qu’ils ont réalisé qu’ils sont dans une phase délicate. Markus de déclarer que « La chose la plus facile à supprimer lorsque vous rencontrez des problèmes avec les recettes, est le marketing, mais c’est aussi la pire chose à faire. Vous perdez les nouveaux utilisateurs, vos utilisateurs actuels partent, et puis vous avez moins de revenus qui rentrent ».

 Maintenant que les marchés qui sont très récemment réglementés entament leurs premiers pas au développement, ils ont sans aucun doute de nombreux facteurs à ne pas négliger parce que l’industrie du jeu en ligne vient de sortir de sa première grande récession. Cependant, les opérateurs qui ont opté à ne pas mettre les pieds sur ces jeunes marchés qui viennent juste d’obtenir leurs réglementations en Europe ont aussi revu leurs dépenses à la hausse.

Parmi les membres de la direction de Sportingbet, il y en avait un qui s’est levé pour défendre leurs actes de ne pas entrer immédiatement en France en disant que tout le monde s’y est rué tout en étant conscient qu’il faut encore attendre plus de temps avant de voir du résultat mais que ce délai s’avère traîner que prévu. En effet, le marché était petit, contrairement à ce qu’estimaient les professionnels après la Coupe du Monde. Cela ne signifie quand même pas qu’il n’y aura pas changement. Cependant, le PDG de BWIN dit tout le contraire en déclarant que d’ici 2011, la société connaîtra du réel bénéfice.

Et l’une et l’autre des deux sociétés font toutefois des grandes hypothèses qui se penchent sur un marché n’ayant eu sa réglementation que moins de six mois avant. Selon les experts, les grandes sociétés comme PMU, BetClic, PokerStars ou Winamax ne tarderont pas à voir des résultats, eux qui ont déjà eu l’approbation de l’ARJEL. Mais de leurs cotés, les autres sociétés seront encore loin à cause de la lourdeur des budgets marketing à l’Hexagone.

Malgré tout, les opérateurs de poker, paris sportifs et casino en ligne doivent en tirer une bonne leçon. Ce n’est plus le temps où on applique partout les mêmes stratégies marketing. Ils seront obligés de choisir les marchés où ils décident de mettre en action leurs investissements et ils doivent traiter ces marchés différemment les uns des autres. Tout cela à cause de la délivrance de la licence locale dans les pays européens. Ainsi, on connaîtra une bonne rentabilité et une bonne expérience adaptée à chaque situation.

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